Cette vidéo est très instructive Didier Raoult remet les pendules à l'heure.
13 pays de l’UE se révoltent contre Von Der Leyen et refusent que les avoirs russes soient gelés par l’UE
Treize (13) pays membres de l'Union Européenne dont la France et l'Allemagne refusent catégoriquement (en tout cas pour l'instant) les amendes prévues par la Commission Européenne, dirigée par Von Der Leyen, contre les Etats qui refuseraient de localiser les avoirs russes qui se trouvent dans leur pays. Ces pays exigent des clarifications juridiques pouvant justifier une telle décision.

La révolte contre Von der Leyen est déclenchée. 48 heures après le discours de Vladimir Poutine consacré à la situation en Ukraine, la Commission Européenne, dirigée par Ursula Von der Leyen, maintient sa ferme volonté de poursuivre les sanctions contre la Russie. Fait nouveau : la Commission entend geler les avoirs de l'Etat russe.
Une décision annoncée il y a plusieurs jours mais qui risque de ne pas aboutir. Car, d'après les informations obtenues par Politico, treize (13) pays membres de l'Union Européenne s'opposent formellement à cette décision qui, selon eux, manque de cadre juridique pouvant justifier son application.
A en croire la source, la Commission Européenne a pour objectif de localiser les avoirs russes où qu'ils se trouvent. Mettre la main sur les quelque 300 milliards de dollars d'avoirs russes qui se trouvent dans les réserves étrangères devrait ainsi permettre, selon la Commission Européenne, de financer la reconstruction de l'Ukraine.
Si l'idée est sérieusement envisagée par l'Union Européenne, elle a du mal à convaincre. En tout cas, au sein même de l'Union Européenne, 13 pays s'y sont opposés lors d'une réunion qui a eu lieu mardi dernier. Parmi ces 13 pays, figurent : l'Autriche, l'Allemagne, la Belgique, la République Tchèque, la France, l'Italie, la Lettonie, Malte et le Portugal.
Joint par Politico, un diplomate qui a pris part à cette rencontre rapporte que les pays qui ont rejeté le gel des avoirs russes exigent des clarifications juridiques pouvant cautionner une telle décision. Beaucoup d'entre eux demandent formellement à la Commission Européenne de retirer le gel des avoirs russes du nouveau paquet de sanctions qui sera bientôt prononcé contre la Russie.
Et ce n'est pas tout. D'après Politico, la plupart des pays qui s'opposent à cette sanction contestent la légitimité de la Commission Européenne à prendre une telle décision. D'autres craignent qu'une telle décision ajoute de nouveaux fardeaux administratifs aux Etats qui devront prononcer ces sanctions. L'afffaire n'est pas close. Car, des discussions sur ce sujet devraient se poursuivre ce jeudi 23 février.
Pour rappel, la décision de la Commission Européenne de geler les avoirs russes ne laisse pas Moscou indifférent. En effet, il y a une semaine, le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Alexander Grushko, avait menacé de réagir au cas où cette décision était appliquée par l'UE.
« Nous allons certainement étudier la situation et, s'il le faut, nous prendrons une action appropriée pour protéger nos intérêts légitimes. Ce que l'Union Européenne est en train de faire est totalement illégal et d'ailleurs, beaucoup de pays (de l'UE) émettent des doutes sur la réussite de cette campagne », avait-il fait savoir.
Source : lecourrier-du-soir.com
Les dernières infos de La Mine
Restez au courant de nos actu
Crépol : « Des jeunes de cité ont encerclé la salle des fêtes et plantaient les gens à l’aveugle »
Dans le nord Drôme, le village de Crépol est endeuillé : dans la nuit du samedi 18 au dimanche 19 novembre, un adolescent a été tué. Le drame s'est déroulé en marge d'une fête de village qui a rassemblé près de 350 personnes. Une enquête de gendarmerie est en cours.
Information censurée par la plupart des médias français.
Cette semaine, une autre institution sanitaire de premier plan a dévoilé un revirement important de la politique de Covid. Cette fois, c'est l'Organisation mondiale de la santé (OMS) qui tient des propos qui auraient pu entraîner la suspension d'un individu sur les médias sociaux ou sa « suppression » publique il y a à peine un ou deux ans :...
Tout au long de l'histoire, les gouvernements ont utilisé les crises, réelles ou imaginaires, pour supprimer les libertés, étendre le pouvoir de l'État et justifier toutes sortes de choses que la population n'accepterait jamais en temps normal.
Réforme des retraites. Les violences policières dénoncées par des ONG de défense des droits humains
Plusieurs organisations non gouvernementales (ONG) de défense des droits humains dénoncent les brutalités policières lors des manifestations émaillées de violences contre la réforme des retraites. Les autorités françaises mettent « à mal le droit de contestation des citoyens en faisant un usage disproportionné et dangereux de la force publique »,...