Implants extraterrestres : La preuve définitive des abductions ?

27/11/2022

Des choses étranges se produisent souvent lors des enlèvements, selon les récits des personnes concernées. Mais rien n'est plus énigmatique que les implants extraterrestres trouvés chez ces populations.

Le grand public doute souvent des témoignages d'enlèvements, mais que se passe-t-il lorsqu'il existe des preuves matérielles ? Les implants extraterrestres pourraient être la preuve sans équivoque que des extraterrestres ont enlevé des humains.

Le mystère des implants extraterrestres

Prouver qu'un enlèvement est réel ou non est compliqué. La plupart du temps, il s'agit de croire le témoignage de la personne concernée, mais des doutes subsistent toujours. Donc, quand il s'agit d'extraterrestres ou d'ovnis, les preuves physiques sont primordiales.

C'est pourquoi il a été récemment révélé que le Pentagone a dépensé environ 22 millions de dollars pour enquêter sur des cas d'OVNIs. En moins de 3 ans.

Mais loin du scoop des enquêtes sur les objets volants non identifiés, il existe peut-être des preuves plus convaincantes.

De nombreux témoins ayant affirmé avoir eu des contacts avec des extraterrestres présentaient des marques étranges sur leur corps, notamment des implants que des experts ont pu retirer.

Le cas des implants extraterrestres est frappant, car il constitue une preuve de l'authenticité du récit. Ce matériel peut être considéré comme la preuve scientifique recherchée depuis de très nombreuses années concernant les extraterrestres et les enlèvements.

Roger Leir, un chirurgien spécialisé dans la podologie, est probablement la personne la plus expérimentée pour retirer des implants extraterrestres. Il explique qu'il a effectué 17 opérations chirurgicales au cours desquelles il a retiré de petits objets inconnus.

Une caractéristique frappante de ces minuscules incrustations est leur nature magnétique et le fait que certaines d'entre elles émettaient des radiofréquences.

D'autres objets contenaient des fragments de météorites, des métaux tels que le gallium, le germanium, le platine, le ruthénium, le rhodium et l'iridium.

Alex Mosier, qui a un doctorat en philosophie, chimie et physique, a examiné les pièces avec Leir. Il a trouvé des fibres très similaires aux nanotubes de carbone, ce qui suggère que les fragments ont été fabriqués. Cela suggère également qu'une ingénierie complexe est nécessaire, car ils ne sont pas faciles à fabriquer.

Des tests ont été effectués, à la fois sur les implants extraterrestres extraits et sur des individus, plusieurs années plus tard. C'est ce qui ressort d'un article publié sur le portail du MUFON.

Des preuves définitives ?

Les objets prélevés lors de la première série d'interventions chirurgicales ont été étudiés par deux pathologistes différents, puis envoyés à plusieurs laboratoires indépendants pour une analyse scientifique détaillée.

Les tests comprenaient la pathologie/l'évaluation des tissus, la spectroscopie par claquage induit par laser, les tests métallurgiques, y compris les tests d'immersion en densité, la spectroscopie à dispersion d'énergie aux rayons X, la microscopie électronique à balayage, le diagramme de diffraction des rayons X et l'analyse des propriétés électroniques/magnétiques et de fluorescence. Des tests de gamme isotopique ont également été effectués.

Tous ces tests ont été effectués par le National Institute for Science Discovery, New Mexico Tech et d'autres laboratoires indépendants.

Un autre aspect surprenant est que l'incorporation d'un corps étranger dans un tissu génère généralement une réponse inflammatoire aiguë ou chronique et peut inclure la fibrose et la formation de kystes. Mais ce n'était pas le cas.

Les rapports de pathologie des deux premières opérations ont révélé que les objets métalliques étaient enfermés dans une membrane grise très dense et résistante constituée d'un caillot de protéines, l'hémoséridine kératinique pure.

Il s'agit essentiellement des protéines du sang et des cellules de la peau qui se trouvent dans la couche superficielle de la peau.

On a également découvert que ces cocons biologiques possèdent des propriocepteurs nerveux ; des cellules nerveuses et de pression du mauvais type de tissu pour cette partie du corps. Ils ont également émis une fluorescence verte brillante en présence de lumière ultraviolette.

Leir a dit que les personnes sur lesquelles il a retiré les implants extraterrestres n'avaient aucune cicatrice ou altération de la peau. Il n'y avait aucun signe d'inflammation, mais les radios ont montré l'objet. Cela semblait impossible.

Leir est décédé le 14 mars 2014, laissant derrière lui des études inachevées. En outre, la médecine et d'autres domaines scientifiques ont été réticents à tester les personnes qui affirment avoir été enlevées, ce qui ne fait que renforcer le mystère.

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