Cela prouve que le haut commandement soviétique était bien conscient de la présence de telles créatures dans le lac Baïkal et à Issik Kul.
Un ordre de ne pas les capturer aurait-il été émis si les créatures n'étaient pas réelles ?
Peu de temps après, les forces d'ingénierie du ministère de la Défense ont publié un bulletin adressé au siège de la région militaire du Turkménistan.
Le bulletin mentionne de nombreux autres lacs où des observations d'humanoïdes aquatiques similaires ont été rapportées, ainsi que les habituels disques volants et sphères montant et plongeant dans les profondeurs.
Cela nous amène à penser que les incidents du lac Baïkal et d'Issik Kul n'étaient pas des événements singuliers, mais plutôt l'expression d'un phénomène beaucoup plus large.
La véracité de cet incident est étayée par l'aveu de l'écrivain russe Mikhail Demidenko. Après avoir pris connaissance du récit de Shteynberg en 1992, M. Demidenko s'est souvenu avoir passé quelque temps sur le lac Baïkal au milieu des années 1980, dans le cadre d'une mission de l'Union des écrivains d'URSS.
C'est là que des pêcheurs d'Irkoutsk lui ont raconté comment ils ont vu des plongeurs soviétiques être projetés hors de l'eau et poursuivre leur ascension jusqu'à une hauteur de 9 à 15 mètres au-dessus de la surface.
Les pêcheurs ne connaissaient pas l'épisode des humanoïdes sous-marins et se demandaient pourquoi l'armée soviétique soumettait ses plongeurs à de tels tests.
Alors, ce cas est-il la preuve définitive que les lacs russes abritent une race d'humanoïdes aquatiques géants ? Ce n'est pas suffisant, car des preuves plus palpables sont nécessaires.
Mais la persistance de légendes et les confessions d'officiers militaires de haut rang à la retraite, comme le colonel Vladimir Azhazha, semblent suggérer que quelque chose se cache dans les profondeurs inexplorées de notre planète.