Cette vidéo est très instructive Didier Raoult remet les pendules à l'heure.
Réforme des retraites : Ils ont peur, Macron et une partie du gouvernement seront en Espagne le jeudi 19 janvier
18/01/2023
Ils ont peur que ça tourne mal et vont se planquer en Espagne. En effet Macron et 11 ministres seront en Espagne jeudi 19 janvier, jour de grève contre la réforme des retraites. Vite! Laissons les gueux entre eux.
Courage fuyons!
C'est pas la « fuite de Varennes » mais ça y ressemble. Jeudi 19 janvier, jour de grève contre la réforme des retraites, Emmanuel Macron et une partie du gouvernement seront en fuite en Espagne, loin des manifestations prévues en France. Le prétexte pour aller se planquer, le chef de l'Etat doit signer un traité d'amitié et renforcer la coopération entre les deux pays.
Dans sa fuite, Macron sera accompagné de près d'un quart de son gouvernement, alors que plusieurs centaines de milliers de personnes sont attendues dans les rues, avec peut-être des heurts prévus, selon les Renseignements généraux, en raison de la présence "d'éléments radicaux dans les cortèges".
Les sous-fifres restent en France
Ils devaient être 12 à être du voyage. Ils ne seront que 11. Olivier Dussopt, le ministre du Travail, n'en fera pas partie, "considérant qu'il a mieux à faire à Paris", selon une source à l'Élysée. Par contre, Pap Ndiaye, le ministre de l'Éducation ou Clément Beaune, le ministre des Transports, feront également le déplacement, malgré la grève dans les écoles et les perturbations sur le rail. Gérald Darmanin, le ministre de l'Intérieur, sera aussi en Espagne, en dépit des risques de débordements dans les cortèges. Mais "ce n'est pas lui qui va arrêter les blacks blocks", s'agace un conseiller du pouvoir. Le ministre de l'Économie Bruno Le Maire accompagnera également le président. Selon l'entourage d'Emmanuel Macron, "tous pourront écourter le programme et rentrer dès l'après-midi".
Comme pour démentir une distance vite synonyme de fuite ou d'indifférence, avec un chef de l'État loin de l'humeur de l'opinion, l'Élysée se justifie de cet exil, euh...de ce voyage : "Les Espagnols ont arrêté la date. Nous ne sommes pas maîtres du calendrier." apparemment, Macron, malgré la situation en France, n'aurait pas eu son mot à dire sur cette date?
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